Junot, une success story française
Avec quinze agences à Paris et Neuilly, cent collaborateurs, 50.000 clients français et internationaux et autant de recommandations élogieuses, la maison Junot est un modèle de réussite. Créé à Montmartre en 1984 par Martine Kuperfis qui a transmis sa passion de l’immobilier à son fils et sa belle-fille, le groupe Junot est une œuvre familiale portée par le goût de l’excellence et de l’innovation.
Aux manettes du développement du groupe Junot depuis 2006, Sébastien Kuperfis résume en trois mots l’ADN de la maison : « Bienveillance, transparence et efficacité. Même si ces qualificatifs peuvent paraître galvaudés, ils sont notre moteur et notre force. Quand je suis arrivé dans l’entreprise, Junot c’était une agence et quatre personnes mais déjà une belle image de marque construite par ma mère qui s’était spécialisée dans les biens haut de gamme à Montmartre. Quatorze ans plus tard, notre groupe compte quinze agences et cent salariés ». Un beau succès que le groupe doit à sa quête perpétuelle de bien faire et à une expertise locale reconnue qu’il a associé à la puissance du réseau international Knight Frank Paris, devenu son partenaire exclusif : « Ce partenariat nous offre une grande visibilité et nous permet d’asseoir la notoriété de notre département Junot Fine Properties dédié aux biens d’exception à la clientèle internationale. Notre groupe compte également un département location/gestion qui gère plus de 500 M € d’actifs immobilier à Paris ». A propos du marché parisien, il explique : « La crise sanitaire et le confinement ont déclenché de nouvelles envies chez les Parisiens. Il y a une volonté marquée de s’offrir un mode de vie plus équilibré entre ville et campagne pour ceux qui peuvent jongler entre le télétravail et l’entreprise et/ou de s’offrir une maison secondaire. Depuis le 11 mai dans nos agences, le volume des entrées de mandat a fortement augmenté, mais les ventes aussi, et le prix au mètre carré ne bouge pas ». L’avenir ? « Je me méfie des analyses prospectives, personne n’en sait rien, mais parce que le marché est très auto-réalisateur, j’ai envie de rester optimiste. Et de rappeler que plus que jamais la pierre est une valeur refuge », conclut Sébastien Kuperfis.
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