Nouvelle BMW Série 3 Touring
Elle maîtrise l’équilibre parfait entre dynamisme, fonctionnalité et confort.
Plus sportive que la Série 5 Touring, plus élégante que le Z4 ou la Série 1, elle maîtrise l’équilibre parfait entre dynamisme, fonctionnalité et confort.
Elle a tout d’une BMW et garde l’allure générale propre à cette grande famille. Mais elle se démarque aussi et n’a pas peur d’afficher son indépendance. Ses formes, fluides et dynamiques, lui confèrent une silhouette plus agile que le Série 5 Touring ; l’opposition entre surfaces concaves et convexes étant moins marquée, elle est plus élégante que la Série 1 et le Z4. Long capot moteur, naseaux de la marque et phares ronds doubles surmontés d’une jolie ligne galbée biaisée, ligne de toit qui plonge doucement vers l’arrière… tout en elle interprète la vision contemporaine d’un véhicule. A l’intérieur, même parti-pris de modernité et d’harmonie avec le double concept : voiture sportive et break de classe moyenne confortable. Le tableau de bord, généreux, voit ses éléments de commande et d’affichage résolument tournés vers le conducteur ; les fonctions essentielles se regroupant sur le volant ou directement autour de lui. Pour optimiser la sensation visuelle, les concepteurs ont volontairement réduit au strict minimum les boutons de commande et autres interrupteurs. Autre distinction au sein de la gamme BMW, la palette des couleurs de carrosserie et intérieures s’avère particulièrement riche et multiplie les possibilités. Il existe ainsi quatre concepts (tissu, similicuir, tissu/cuir et cuir), douze teintes de carrosserie, trois univers de tons intérieurs (noir, gris, beige), huit coloris de garnitures (anthracite, noir, gris, beige, quartz, bleu, terre et citron) et quatre baguettes décoratives (ronce de noyer, loupe de peuplier, titane mat, aluminium à polissage rectiligne fin) : soit au total pas moins de six cent vingt quatre harmonies de couleurs.
Et sous le capot…
Commercialisée avec trois motorisations à essence et deux diesels, la Série 3 Touring voit chacun de ses modèles gagner en puissance et tous être équipé d’une boîte à six rapports. Résultat : silence de fonctionnement, guidage précis du levier de vitesse, efforts de commande constants et réduction d’environ quatre pour cent de la consommation. Le contrôle dynamique de stabilité (DSC) de dernière génération devient, avec ce modèle, le système clé de toute l’électronique embarquée. En plus de l’ABS, il comprend l’ASC (contrôle automatique de stabilité), l’AYC (contrôle automatique du moment de lacet, qui détecte toute instabilité dynamique de la voiture), le MSR (régulateur du couple résistant du moteur), le CBC (contrôle du freinage en courbe), l’EBD (répartiteur électronique de la force de freinage), le DBC (contrôle dynamique du freinage), le DTC (contrôle de traction dynamique) et enfin le contrôle de stabilité de la remorque (qui détecte le louvoiement d’un attelage et freine automatiquement l’élément tracteur). Dans l’habitacle, les occupants bénéficient d’un haut degré de protection avec des airbags frontaux conducteur et passager à deux niveaux de déclenchement, en fonction de la gravité de l’impact. Toujours à l’avant, les personnes bénéficient d’un airbag pelvien/thoracique intégré au siège.
Par Cécile Olivéro - photos : presse
