Jaguar Cabriolet XK
Sensuel et musclé, ce cabriolet fait les beaux jours du printemps.
Sensuel et musclé, ce cabriolet nouvelle génération fait les beaux jours du printemps.
Ce véhicule d’exception marie quatre composantes essentielles : une technologie de pointe, une puissance raffinée, un design moderne et un luxe que l’on peut qualifier de grand. Ses concepteurs se sont appuyés sur des recherches menées par l’industrie aérospatiale pour lui offrir une caisse constituée d’éléments en aluminium extrudé, moulé et estampé, assemblés par rivetage, collage époxy et boulonnage. Résultat de l’opération : une belle robustesse, une rigidité étonnante (48 % de mieux que le modèle précédent) et une légèreté insoupçonnée (cent quarante kilos de moins). D’où une agilité plus marquée, des accélérations et des réactions plus précises. Le cabriolet XK est équipé de la dernière version du V8 4,2 l, un moteur haute performance (300 ch), et d’une version améliorée de la suspension électronique Cats, système basé sur des amortisseurs commandés électroniquement et dont les paramètres fournissent un maximum d’adhérence au sol, de confort et de contrôle. Le TracDSC (suspension électronique) permet, quant à lui, de corriger le survirage et le sous-virage, tout en améliorant l’accélération et la traction. L’éclairage de la voiture, intelligent (et de série) possède des phares bi-xénon à allumage et à réglage automatiques de l’inclinaison. Autre « plus », confortable pour le conducteur : l’aide au stationnement. En marche arrière, elle utilise des capteurs à ultrasons intégrés dans les pare-chocs et qui détectent un obstacle jusqu’à un mètre quatre-vingt. En plus d’un signal sonore, des flèches s’affichent sur l’écran tactile de la console centrale pour situer plus précisément ledit obstacle par rapport au véhicule. Idem, mais en option cette fois, pour l’aide au stationnement avant. Côté sécurité, deux systèmes semblent particulièrement intéressants : l’Arts et la protection anti-tonneau. Le premier cité analyse la gravité d’un impact frontal, le nombre, le poids et la position des occupants pour déterminer au mieux le déploiement optimal des airbags frontaux. Le second n’a besoin que de soixante-cinq millisecondes pour se déclencher : deux arceaux hyper robustes et masqués sous le cache-coffre, se déploient et se verrouillent derrière les sièges arrière, créant une zone de survie.
Dans l’habitacle, place au monde luxueux de Jaguar. Lignes épurées, élégance rare et matériaux très haut de gamme. Au choix, trois habillages (Caramel, Slate Blue ou Warm Charcoal) et une finition en aluminium, en loupe de noyer ou en peuplier. Pour les sièges, deux versions, aussi ergonomiques l’une que l’autre, Sport et Sport Luxury. Standards, les modèles Sport sont proposés en cuir avec dix réglages différents. Les Sport Luxury, en option, sont habillés de cuir à grain tendre perforé avec seize réglages possibles. La climatisation à deux zones, automatique, permet au conducteur et au passager de sélectionner individuellement la température de l’habitacle. Touche finale d’une merveille de mécanique, le hayon arrière à charnières à éloignement (tout en aluminium, le premier jamais conçu par la marque) possède un design permettant d’étirer le vitrage arrière au maximum et offre ainsi au conducteur une excellente visibilité.
Par Cécile Olivéro - photos : presse
